La Rose Blanche - Des résistants chrétiens contre le nazisme

Préface du pasteur Alain Joly.

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L'HOMME NOUVEAU, Rita Prawda, Avril 2024 :

   Avez-vous déjà été pris de vertige devant la dégradation morale, politique ou sociale de notre civilisation ?

   Déjà au siècle dernier, le poison des idéologies frappait le monde, tuant au nom des idées et brouillant tout repère intellectuel et spirituel. Face à ces idéologies totalitaires, des hommes et des femmes se sont engagés dans une guerre de réflexion et d’idées. Henri Peter, enseignant retraité et spécialiste de l’écrivain catholique allemand Gertrud von Le Fort, a souhaité analyser la lutte du mouvement de la Rose blanche contre le nihilisme imposé par le régime nazi. La Rose blanche, des résistants chrétiens contre le nazisme expose l’évolution de la réflexion intellectuelle et spirituelle des deux figures majeures du mouvement, Hans et Sophie Scholl. Ils sont confrontés très tôt au nazisme. Celui-ci les a d’abord fascinés, puis dérangés et enfin révulsés, au point de ne plus supporter l’inaction. 

   La première partie, entièrement consacrée à Hans, étudie son évolution personnelle notamment au travers des différentes fréquentations amoureuses qui ont émaillé sa jeunesse, révélatrices de son caractère instable. Sa pensée intellectuelle et spirituelle se transforme peu à peu grâce à la rencontre de divers intellectuels de son époque, à des lectures et des discussions animées avec ses amis. La seconde partie se focalise sur Sophie et son chemin de conversion, qui l’a amenée à une radicalisation dont elle paiera le prix ultime. Henri Peter examine également sa relation amoureuse et sa correspondance entretenue avec Fritz Hartnagel. Celle-ci est un bon indicateur de sa maturité sentimentale et intellectuelle mais également de son désarroi spirituel.

   L’auteur évoque à de nombreuses reprises les doutes de la jeune fille et ses lectures liées à sa recherche de vérité et de justice. Le sujet mérite que l’on s’y arrête et l’oeuvre d’Henri Peter est fort intéressante pour sa compréhension globale du combat mené par la Rose blanche à travers l’évolution de ses deux protagonistes les plus connus. Cependant, l’ouvrage tient parfois plus d’un carnet de réflexion personnelle. L’auteur interpelle le lecteur, lui posant des questions et lui proposant différentes perspectives sans pour autant en tirer de conclusions. Il déroute également par ses changements abrupts de sujet, certaines de ses anecdotes restant inachevées. La lecture peut en conséquence sembler frustrante, notamment parce que le lecteur entraperçoit le message sous-jacent, le désir de mettre en lumière des intellectuels de cette période ou encore le point de vue catholique de l’auteur sur l’évolution spirituelle des protagonistes. 

RENAISSANCE CATHOLIQUE, J.P. Maugendre, avril 2024 : lire l'article en entier

   Le récit de Henri Peter fait une large part aux écrits et lettres qu’échangent entre eux les futurs acteurs de la Rose Blanche et leurs amis. Le personnage de Sophie apparaît plus attachant que celui de son frère à la vie sentimentale un peu erratique.

   Nous retiendrons pour nous l’ultime admonestation de Sophie à son frère, la veille de monter à l’échafaud : « Reste fort, pas de concessions ! »

RADIO COURTOISIE, Ligne droite, 28 février 2024 

    La rose blanche : la tragédie des résistants chrétiens contre le nazisme

RETOUR AU REEL

LIBRE JOURNAL DE CHRÉTIENTÉ, abbé de Tanouarn, 7 mars 2024 

LES QUATRE VERITES


L'auteur : Henri Peter
Henri Peter, originaire de Colmar, est enseignant retraité. Il a contribué à la redécouverte de l’écrivain catholique allemand Gertrud von Le Fort dont il a traduit plusieurs ouvrages (La Femme éternelle, L’Enfant étranger, Écrits de résistance, parus aux éditions Via Romana).

4ème de couverture

   « Comment peut-on attendre d’un destin qu’il donne la victoire à une cause juste, s’il ne trouve personne qui s’y sacrifie sans hésiter ? » Sophie Scholl à son fiancé.

   Le nom de La Rose Blanche vient d’un poème de Clemens von Brentano. Symbole de pureté et de salut en analogie avec la prière du rosaire, la rose blanche évoque aussi la foule des saints formant une rose dans la divine comédie de Dante. Elle est l’emblème de résistants chrétiens au nazisme dont Henri Peter retrace ici le destin, celui de Sophie et Hans Scholl, d’Alexander Schmorell et de leurs compagnons exécutés pour haute trahison en 1943.

   Fasciné par leur martyre, il leur donne la parole à partir de documents jamais traduits sur leur foi chrétienne et leur combat anti-totalitaire. Après les tragédies du XXe siècle, d’autres ténèbres obscurcissent le monde contemporain, et leur héroïsme peut inspirer les apôtres d’une culture de vie chaque jour plus bafouée par les nouveaux tenants des idéologies contre-nature, homicides et liberticides.

Fiche technique

Catégories Livres Histoire Deuxième Guerre Mondiale
ÉditeurVia Romana
ReliureBroché
ParutionMars 2024
Nombre de pages336
Hauteur20.5
Largeur13.5

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