« Un roman captivant et jubilatoire sur la vie de saint François d’Assise. Alliant un humour totalement décalé et une grande profondeur spirituelle, Luc Adrian nous entraine dans un récit épique mené d’une plume savoureuse. Une bonne occasion de découvrir le Poverello ou de le redécouvrir pour ceux qui pensent tout savoir de lui…
Et de par sa belle édition, en dorures et rabats, vous avez là un magnifique objet aussi bien pour un adolescent que pour un adulte.
Laissez-vous désarmer par cette lecture unique en son genre ! »
« Le texte est agrémenté de dessins nombreux, esquisses supposément produites par Marc à qui le père Fabre attribue une passion pour cet art, ce qui permet de voir pour mieux s'immerger dans l'histoire.
Une lecture d'une très grande richesse, historique et biblique, qui donne à approcher un destin singulier comme le permet le journal. »
« Quand le passé n’éclaire plus l’avenir, l’esprit marche dans les ténèbres " disait Tocqueville.
Zemmour l'illustre bien dans cette grande fresque qui raconte l'histoire de France comme on ne l'enseigne malheureusement pas. Espérons que certaines écoles demanderont à leurs grands élèves de lire cette somme et que celle-ci deviendra un classique de bibliothèque... »
« L'éditeur a écrit au dos de la couverture "à partir de 13 ans". Nous conseillons cette lecture à partir de 15/16 ans. Il faut déjà des éléments de philosophie pour savourer les dialogues, les interrogations, et l'enchainement des événements. D'autre part, la vie dissolue de Augustin et ses démons est assez évoquée pour ne mettre cela dans les mains d'un adolescent. »
« La Providence veut que nous soyons partie prenante de son plan : les hommes combattent et Dieu donne la victoire. Dieu ne veut pas nous sauver sans nous, il ne veut pas relever notre monde sans que nous soyons les auteurs de ce renouveau. Il veut que nous puissions dire, comme le roi de Pologne, Jan III Sobieski après sa victoire à la tête des armées chrétiennes sur les Ottomans au siège de Vienne, en 1683 : "Veni, vidi Deus vicit." Je suis venu, j'ai vu et Dieu a vaincu. »
« Mousquetaire dans l’âme, Bernard Lugan aiguise sa plume pour défendre le duel dans un livre magistral : Eloge du duel, l’honneur au-dessus de la vie. Car, “qu’on le veuille ou non, le duel est en effet le moyen le plus rapide, le plus efficace et le moins onéreux de rendre enfin prudents plumitifs stipendiés, acrobates du micro, butors de la sous-culture et baises-cul de l’idéologie dominante“. »
« Je viens de refermer ce tome 2... Belle plume, suspens et émotion... Et c'est aussi une grande leçon d'histoire de France que nous retenons bien grâce à toutes les péripéties du roman basé sur les faits réels de cette époque tragique. Chapeau à Blandine Brisset pour ce scénario digne d'un film ! »
« "Il faut relire Bernanos écrivait Dom Gérard, à cause de son intransigeant besoin de pureté et d'honneur et du sens très profond qu'il avait d l'esprit de la chrétienté". C'est à cette lecture -ou relecture- que vous invite cette publication des éditions Sainte-madeleine.
Un ouvrage qui cherche à nous restituer cette voix au souffle puissant et à la fraîcheur de l'Evangile. »
« Gérard Bedel a quitté ce monde avant la publication de son livre sur Jacques Bainville. Le projet existait depuis bien des années ; après réflexion et compte tenu des études existantes, il a été ramené à l’ouvrage que voici, axé sur un aspect peu étudié de cet esprit universel : Bainville, homme de lettres.
Gérard Bedel rejoint Bainville lorsqu’il écrit : « le biographe, ce stupide indiscret » c’est pourquoi, il ira à l’essentiel pour faire vivre son héros dans un livre qui le dévoile progressivement en abordant les différents aspects de cette riche personnalité qui « pense historiquement ». Nous découvrons les facettes de ce « gentilhomme des lettres » au fil de l’ouvrage écrit, comme toujours avec Gérard Bedel, dans un style clair et concis.
Les vers de jeunesse de Jacques Bainville pourraient s’appliquer aux deux auteurs :
« Remettant tout à sa place
En trois mots et sans fracas,
Il fait d’un esprit sagace
De lui-même peu de cas. » »
« Ils sont 5, ne se connaissent pas et font route ensemble vers l'Alsace à la veille de Noël. Mais rien ne se passe comme prévu dans ce covoiturage et par la force des choses, les passagers vont devoir faire contre mauvaise fortune bon coeur.
Ce petit roman plein d'humanité ressemble presque à un conte de Noël. Les personnages agaçants ou attachants, nous dévoilent peu à peu leurs fragilités autant que leur générosité...
A dévorer de toute urgence au coin du feu ! »
« Dans ce livre passionnant, d’une érudition qui donne parfois le vertige, le directeur du Figaro histoire nous raconte le siècle de Périclès, ce Ve siècle avant notre ère qui a vu la Grèce accoucher de trésors de civilisation inégalés, mettre au point un idéal civique fondé sur la délibération rationnelle, cultiver un patriotisme «au carrefour de la piété filiale, de la tradition et de l’esprit critique», puis basculer dans la démesure de la conquête, de l’asservissement des voisins et de la guerre civile. Pendant les guerres médiques, les cités grecques s’étaient unies contre l’ennemi perse, avaient dépassé leurs attachements tribaux pour défendre une civilisation commune contre les barbares. À la suite de la victoire, Athènes avait pris l’hégémonie au sein de la ligue de Délos. Elle avait alors basculé dans l’hubris d’une thalassocratie sans pré carré défini, qui s’était lancée dans un impérialisme insensé. Celui-ci aboutit à la guerre du Péloponnèse, qui vit les hoplites qui combattaient jadis ensemble, boucliers contre boucliers, s’entretuer.
Entre la bataille des Thermopyles (480 av. J.-C.), où les 300 Spartiates emmenés par Léonidas se sacrifièrent pour la liberté des Grecs, et la capitulation d’Athènes (404 av. J.-C.), qui vit la victoire éphémère des Lacédémoniens sur les Athéniens, il s’écoule à peine une vie d’homme. Soixante-dix ans, qui ont vu passer la Grèce du rêve au cauchemar, du patriotisme, ce «sentiment de tendresse poignante pour une chose belle, précieuse, fragile et périssable» (Simone Weil), à l’idolâtrie. »
« Dans ce livre à la fois spirituel et personnel, la journaliste Olivia de Fournas questionne la place de la maison dans nos vies. Les murs partagés tissent un lien puissant entre ses habitants, et forgent les souvenirs impérissables de l'enfance.
Comment la choisir, l’agencer et en faire un "sanctuaire" pour ceux qui la traversent ? Réponses, expériences, abandon à la providence se conjuguent avec un style alerte et plein d'humour. J'ai adoré ! et l'offre autour de moi ! U »
« Tout comme Zouleikha ouvre les yeux, le précédent livre de Gouzel Iakhina, Les Enfants de la Volga est un récit très romanesque, mais qui se réfère à des jalons historiques précis. Il s’agit ici de l’histoire des Allemands de la Volga, venus dès la seconde moitié du XVIII° siècle, sur l’invitation de la tsarine Catherine II, cultiver les rives du fleuve russe dans les environs de l’actuel Saratov, et qui ont conservé leur langue et leur culture jusqu’au milieu du XX°siècle.
À la fin du XIX°siècle, suite à des pressions de la Russie tsariste pour les forcer à s’assimiler, une partie des Allemands de la Volga a émigré en Amérique. Après la révolution, la nouvelle organisation bolchevique a d’abord semblé jouer en leur faveur : en 1918, un territoire autonome allemand a été créé sur décret de Lénine. En 1924, ce territoire est devenu la « République socialiste soviétique autonome des Allemands de la Volga ». Dans les années 1920-1930, tout comme les autres habitants de l’Urss, les Allemands de la Volga ont souffert des réquisitions de céréales et de bétail (1919-1920) et de la guerre . »
« Une lettre bienveillante directement adressée au lecteur. Un éloge du silence du retour à ses envies profondes. Une invitation à repenser son intérieur, à commencer par son chez soi, pour mieux s’élancer vers l’extérieur et aborder les autres.
Un encouragement à lire, à écrire, à écouter son corps et ses pensées
Des citations et des questions inspirantes.
Un livre dont on sort transformé. »
« Il est dans l'Histoire des personnages qu'une proximité trop forte avec d'autres gloires, plus illustres et plus établies, a injustement privés de la reconnaissance que leur personnalité et leurs actes auraient dî leur valoir. Le roi Louis VIII de France, surnommé le Lion, est de ceux-là. »
« Avec ce petit carnet à spirale, nos grands enfants
soigneux vont pouvoir s’initier à l’art de l’enluminure et créer de jolies cartes à offrir.
Tout est parfaitement expliqué : de la conception du « calame » avec laquelle on écrit à la réalisation de la carte, en passant par les différents alphabets, les lettrines, les fonds ou les cadres. De ravissants modèles à décalquer (calque fourni), sans oublier de judicieux conseils pratiques.
Une belle œuvre placée sous le regard du Seigneur grâce au marque-page joint livrant la prière des copistes et enlumineur »
« Le livre indispensable pour mieux comprendre l'exposition-événement du Grand Palais : la portraitiste officielle de Marie-Antoinette : ses débuts, son ascension fulgurante jusqu'à la cour de Versailles, son entrée à l'Académie royale de peinture, son exil de douze ans suite à la Révolution, puis son retour en France »
« Les Fiancés sont le plus grand roman de la littérature italienne. Sur fond d'histoire de la Lombardie au XVIIᵉ siècle, les tribulations des deux fiancés, qui ne pourront s'unir qu'après bien des malheurs. Le sujet véritable est cependant ailleurs : celui de toute guerre civile, et donc tristement actuel. D'un côté les pauvres, de l'autre les oppresseurs : l'intrigue tourne au mythe, servi par le grand talent de l'écrivain. Parmi ces vastes tableaux historiques, celui de la peste de Milan est l'un des plus frappants. »
« La présentation est travaillée en forme de dossier top secret (avec des annotations d'un agent communiste) renfermant les carnets de Viktor et Nadia. L'écriture rouge est celle de Viktor et la bleue, celle de Nadia... Une alternance qui donne du rythme au récit . Un texte travaillé, un fond historique juste. Beau travail. »
« Un très bon roman. Un récit de toute la tragédie des Guerres de l'Ouest sans lourdeur, mais d'une intensité vive et tragique avec cette espérance vissée au coeur, dans le "bon combat pour Dieu et le Roy". Une intrigue soutenue, un texte très bien écrit, sans longueur, ...
A recommander à partir de 16/17 ans afin de se nourrir au coeur de ses vérités historiques et religieuses qui firent de cette tragédie, "un combat de Géants". »
« L’une des qualités premières de cette bande dessinée est d’avoir su subtilement mettre en forme les problématiques historiques de cette région sans en alourdir le propos ou la narration. Un pari réussi, un graphisme soigné, des couleurs sombres qui cadrent bien avec la tonalité de l’histoire. Le personnage de Milan est à lui tout seul un concentré de tout ce qui déchirera la Yougoslavie post-Tito. Personnage réellement touchant, désabusé, il n’omet pas de nommer les responsables dans un dernier laïus : l’OTAN et, à travers elle, les USA. »
Merci
« Merci de ce que vous faites pour nous et nos enfants ! »