La révocation de l'édit de Nantes (1685)

La révocation de l'édit de Nantes abolit la liberté de culte des protestants, accordée malencontreusement par Henri IV en 1598. Justifiée dans le fond, elle fut malheureuse dans la forme.

Plus de détails

En stock (1)

4,00 €

En savoir plus

Sommaire:

    I- Le contexte de l'édit de Nantes

    II- La nature de l'édit de révocation

    III- Conséquences de la révocation

    IV- Conclusion 


L'auteur : Jean de Viguerie
Né à Rome le 24 février 1935, en 1967 professeur agrégé d'histoire, assistant à la Faculté de Lettres de Paris. Il restera toujours fidèle à son principe de s'attacher à l'histoire des idées plutôt qu'à l'histoire sociale, comme tous ses confrères "dans le vent" et s'efforcera de former toujours ses étudiants dans ce sens. Professeur honoraire de l'Université Lille III, est le s grand spécialiste du siècle des Lumières. Rappelé à Dieu le 15 décembre 2019.

4ème de couverture

    Il est de bon ton, dans les milieux officiels qui refont l'Histoire, d'accuser Louis XIV d'avoir, par l'édit de Fontainebleau de 1685, révoqué l'édit de Nantes d'Henri IV de 1598. La réalité est plus nuancée et l'historien Jean de Viguerie nous dit pourquoi. 

    Examinant le contexte politique, religieux, social et juridique de l'époque, il explique pourquoi Louis XIV a pris cette décision qu'il qualifie de "absolument nécessaire". Mais il analyse également le contenu et les conséquences de cet édit de Révocation pour, en toute impartialité, en mesurer les avantages et les inconvénients qui existèrent tous deux. 

Fiche technique

Catégories Livres Histoire Histoire de France
ÉditeurAction Familiale et Scolaire
CollectionRepères
ReliurePlaquette
Parution2021
Nombre de pages33
Hauteur21
Largeur15

Produits associés

Les clients qui ont acheté ce produit ont également acheté...

Du même auteur

Dans la même catégorie

Commentaires clients

Donner votre avis

La révocation de l'édit de Nantes (1685)

Jean de Viguerie
La révocation de l'édit de Nantes (1685)

La révocation de l'édit de Nantes abolit la liberté de culte des protestants, accordée malencontreusement par Henri IV en 1598. Justifiée dans le fond, elle fut malheureuse dans la forme.