Fort de cet héritage qu'il revendique avec fierté, et de son expérience personnelle et professionnelle, il expose dans ce livre ses convictions et son projet : ceux d'un prince jeune, fidèle à ses ancêtres et résolument moderne.
C'est en retrouvant sa vocation, dit-il, que la France retrouvera confiance; c'est en pariant sur ses "forces vives" qu'elle redeviendra prospère; c'est en affirmant l'originalité de sa civilisation qu'elle sera écoutée et respectée dans le monde. Le témoignage d'espoir d'un homme épris de son pays, qui brûle de le servir.
Ces entretiens ont été réalisés avec Fabrice Madouas, rédacteur en chef-adjoint à Valeurs actuelles.
Au sommaire :
Il a pour ancêtres saint Louis, François Ier et Henri IV. Sa famille a régné sur la France pendant neuf siècles, d'Hugues Capet jusqu'à Louis-Philippe.
Elle régnerait aujourd'hui si les Français décidaient de renouer le fil de leur histoire. Mais qui est vraiment le prince Jean de France ? A quoi servirait d'avoir un roi, de nos jours ? Que peut apporter au pays un prince de la Maison de France ? C'est à ces questions qu'il répond sans détours dans ce livre d'entretiens.
Le prince évoque ici son histoire et celle des siens : son éducation ; ce qu'il doit à son grand-père, feu le comte de Paris ; comment il veut désormais servir la France et les Français. Il y rappelle ce que les souverains capétiens ont fait pour leur pays tout au long des siècles et comment ils ont su le hisser au premier rang des nations.
Catégories | Livres Histoire Sciences Politiques Biographies / Témoignages Actualité/ Etudes / Essais |
Éditeur | Pygmalion |
Reliure | Broché |
Parution | 2009 - Nouvelle édition janvier 2020 |
Durée | 240 |
Hauteur | 24 |
Largeur | 15 |
Épaisseur | 1.6 |
Poids | 0.344 kg |
La monarchie a cet avantage sur la République : le roi, contrairement au président, n’est pas soumis à élection. Et c’est bien ce qui change tout. Un prince ne gouverne pas au “doigt mouillé”, en fonction des sondages, comme c’est trop souvent le cas aujourd’hui. Il n’a pas besoin de gagner les faveurs des uns ou des autres pour s’assurer une place. Il peut donc écouter chacun, ne négliger personne, prendre les conseils de tous et décider en son âme et conscience, guidé seulement par le souci du bien commun.
La politique ne peut pas être une profession dont l’exercice serait réservé à des apparatchiks partisans. Il faudrait, dans ces choses-là, que nous soyons novateurs, nous, Français. Ce qui passe sans doute par un renouvellement des générations. Je crois indispensable de donner plus de responsabilités à des esprits plus jeunes et plus audacieux : la France a besoin d’air.