La restauration de l'homme

C.S. Lewis contre le scientisme

Préface du docteur James le Fanu.

Les dangers du transhumanisme vus par les auteurs anglo-saxons.

Plus de détails

En réapprovisionnement
Expédition sous 4 à 10 jours

19,00 €

En savoir plus

   "L'ouvrage incisif de M. Aeschliman permet une réévaluation depuis longtemps attendue du rôle de C.S. Lewis en tant que critique social sérieux et intellectuel public". R. Williams ancien archevêque de Cantorbéry.

   L'HOMME NOUVEAU, Didier Rance, juillet 2021 :

   C.S. Lewis est l’auteur d’un bijou de réflexion, L’Abolition de l’homme, qui a connu plusieurs éditions en français, dont une en 2017 présentée par Irène Fernandez. Son propos était simple : toutes les traditions reconnais - sent la distinction entre le bien et le mal – qu’il appelle Tao, mais il aurait pu lui donner dix ou vingt autres noms, dont celui tout simple de « bon sens ». Refuser cette distinction et éduquer dans le refus du sens moral, c’est abolir l’homme en tant qu’homme.

   Cet ouvrage s’en inspire, et montre un compagnonnage solide avec l’oeuvre de Lewis. Il met l’accent sur la façon la plus ordinaire aujourd’hui de minimiser ou d’abolir le sens moral : le scientisme, qui prétend parler au nom de la science et délégitime tout autre mode de savoir. Il prolonge et actualise de deux façons la réflexion de Lewis ; d’abord en montrant les visages plus récents et dominants du scientisme dont Lewis, mort en 1963, n’a pu connaître que les prémices, et particulièrement le transhumanisme ; d’autre part en s’inspirant non seulement de Lewis mais aussi de nombreux auteurs plus modernes qui combattent ce réductionnisme mortifère, en particulier des scientifiques. l’abolition de l’homme L’ouvrage est complété par des articles du même auteur.

   L’ensemble constitue ainsi une bonne introduction à la réflexion actuelle dans le monde anglo-saxon sur ce risque d’abolition de l’homme, et comment le contrer, et témoigne de la vitalité offensive des réponses non réductionnistes, explicitement chrétiennes ou non.

   " Un remarquable étude synoptique des penseurs clés de la modernité" Philipp Phénix, Université de Columbia NY.

   LE FIGARO MAGAZINE : 

    À l'heure où certains tentent maladroitement de bricoler l'éthique pour en faire la chambre d'enregistrement des progrès les plus effrayants de la technique, cette lecture semble plus nécessaire que jamais. 

   Au sommaire :

  • Préface à la présente édition - Préface à l'édition de 1998 - Sauver l'art et la science - Préface à l'édition de 1983 - L'échelle de la vérité - Introduction de l'auteur.
  • La restauration de la personne et l'usage de la mémoire contre la prétention transhumaniste
    • Sens commun et homme du commun
    • Scientisme contre sapientia
    • Scientisme : le débat aujourd'hui
    • C.S. Lewis et les deux cultures
    • L'abolition de l'homme
  • Postface
  • Annexes : Un ange noir et son chef-d'oeuvre - Aldous Huxley et Le meilleur des Mondes - Pierre Duhem, dissiper la grande illusion - Le réductionnisme scientifique, religion des athées - Sade et sa progéniture - Alexis de Tocqueville, l'aristocrate de la vertu
  • Index biographique.


L'auteur : Michael D. Aeschliman
professeur émérite de l'université de Boston, a enseigné par ailleurs dans les universités de Lugano et de Columbia NY. Spécialiste de Charles Dickens, il est un auteur incontournable sur C.S. Lewis.

4ème de couverture

   Surtout connu pour Le Monde de Narnia et son apologétique chrétienne, C.S. Lewis fut aussi un géant intellectuel qui a vivement et sévèrement critiqué le dogme à la mode connu sous le nom de scientisme - l'idée réductionniste que la science serait l'unique voie d'accès à la connaissance et à la réalité fondamentale.

   S'appuyant sur le chef-d'oeuvre de Lewis, L'abolition de l'Homme, Michael D. Aeschliman le prolonge ou pour mieux dire l'actualise ici, en convoquant tous les grands auteurs anglo-saxons partisans de la philosophie classique, tels Johnson, Chesterton ou T.S. Eliot, mais aussi Pope et Dante, ou les philosophes des sciences Pierre Duhem et Stanley L. Jaki. Et bien sûr les classiques Platon, Aristote, saint Thomas d'Aquin..;

   Face au matérialisme, au scientisme et au transhumanisme qui n'est que leur plus récent et vulgaire avatar, voici un ouvrage salutaire pour restaurer l'homme dans sa vraie richesse.

Un index biographique des auteurs vient le compléter, faisant de et ouvrage une synthèse essentielle en philosophie et sciences politiques.

Fiche technique

Catégories Livres Religion Sciences Politiques Philosophie, Théologie, Sciences humaines Actualité/ Etudes / Essais
ÉditeurTéqui
ReliureBroché, collé
ParutionFévrier 2020
Nombre de pages300
Hauteur21
Largeur13.5
Épaisseur1.5

Produits associés

Les clients qui ont acheté ce produit ont également acheté...

Dans la même catégorie

Commentaires clients

Donner votre avis

La restauration de l'homme

Michael D. Aeschliman
La restauration de l'homme
C.S. Lewis contre le scientisme

Préface du docteur James le Fanu.

Les dangers du transhumanisme vus par les auteurs anglo-saxons.