Préface du docteur James le Fanu.
Les dangers du transhumanisme vus par les auteurs anglo-saxons.
"L'ouvrage incisif de M. Aeschliman permet une réévaluation depuis longtemps attendue du rôle de C.S. Lewis en tant que critique social sérieux et intellectuel public". R. Williams ancien archevêque de Cantorbéry.
" Un remarquable étude synoptique des penseurs clés de la modernité" Philipp Phénix, Université de Columbia NY.
LE FIGARO MAGAZINE :
À l'heure où certains tentent maladroitement de bricoler l'éthique pour en faire la chambre d'enregistrement des progrès les plus effrayants de la technique, cette lecture semble plus nécessaire que jamais.
Au sommaire :
Surtout connu pour Le Monde de Narnia et son apologétique chrétienne, C.S. Lewis fut aussi un géant intellectuel qui a vivement et sévèrement critiqué le dogme à la mode connu sous le nom de scientisme - l'idée réductionniste que la science serait l'unique voie d'accès à la connaissance et à la réalité fondamentale.
S'appuyant sur le chef-d'oeuvre de Lewis, L'abolition de l'Homme, Michael D. Aeschliman le prolonge ou pour mieux dire l'actualise ici, en convoquant tous les grands auteurs anglo-saxons partisans de la philosophie classique, tels Johnson, Chesterton ou T.S. Eliot, mais aussi Pope et Dante, ou les philosophes des sciences Pierre Duhem et Stanley L. Jaki. Et bien sûr les classiques Platon, Aristote, saint Thomas d'Aquin..;
Face au matérialisme, au scientisme et au transhumanisme qui n'est que leur plus récent et vulgaire avatar, voici un ouvrage salutaire pour restaurer l'homme dans sa vraie richesse.
Un index biographique des auteurs vient le compléter, faisant de et ouvrage une synthèse essentielle en philosophie et sciences politiques.
Catégories | Livres Religion Sciences Politiques Théologie, Philosophie Actualité/ Etudes / Essais |
Éditeur | Téqui |
Reliure | Broché, collé |
Parution | Février 2020 |
Nombre de pages | 300 |
Hauteur | 21 |
Largeur | 13.5 |
Épaisseur | 1.5 |