Les circonstances mal connues de l'affaire, les différentes versions qui en furent données, le silence que le général conserva toujours à son sujet ont rendu difficile d'en évaluer l'influence sur sa démarche ultérieure.
Ce livre y tente d'y parvenir, en s'appuyant sur l'étude critique d'un ensemble de documents -dont l'un au moins est inédit- pour procéder à une reconstitution plausible de ce drame et pour en dégager la signification à l'égard de celui qui en fut la victime.
Photos en noir et blanc in-texte. Annexes, cartes.
A trois reprises durant son existence, Charles De Gaulle a rompu le combat.
Les deux dernières fois, en 1946 et en 1969, c'est sur le terrain politique qu'il a renoncé à une partie qui, si elle était compromise, ne pouvait passer pour désespérée. Une telle attitude n'a pu qu'en surprendre beaucoup car celui qui s'est imposé comme guide ne saurait se dérober par la suite sans contredire sa vocation et altérer son image, même et surtout si l'une et l'autre s'étaient voulues consacrées par l'Histoire.
Ne serait-ce pas alors, dans le premier des trois grands échecs qu'a connu De Gaulle -lorsque le 2 mars 1916 il fut capturé devant Verdun- que se trouve, pour partie du moins, la clé d'un comportement aussi déconcertant ?
Mot clé | Guerre de 14 |
Catégories | Livres Histoire Histoire de France Biographies / Témoignages Nos éditions Première Guerre mondiale |
Éditeur | Ulysse |
Sélection | Verdun 1916-2016 |
Reliure | Broché cousu |
Parution | 1997 |
Nombre de pages ou Durée | 210 |
Hauteur | 24 |
Largeur | 16 |
De gaulle a été un visionnaire concernant l'emploi du char au combat ,mais un piètre combattant préférant se rendre ,tandis qu'un De Lattre chargeait "sabre au clair" et était blesse face a l'ennemi.
Mais il aimait la France,il serait bien déçu aujourd'hui
Vous n'avez pas honte de mettre en vente cette ordurerie sortie des égouts de la Collaboration ?
Vous osez appeler ça un livre en famille ?
Témoignage de la bassesse haineuse de l' antigaullisme.
Les allemands qui faisaient honneur aux officiers français qui s'étaient courageusement battus de leur rendre leur sabre pour certaines manifestations - La Messe par exemple-, ne le rendirent pas à De Gaulle. Etonnés de sa réclamation, ils refirent une enquête sur sa reddition... ET ILS NE LUI RENDIRENT PAS SON SABRE !