Enracinés !

Nous sommes tous des héritiers

Et si les valeurs qualifiées de dépassées étaient la clé de notre avenir ?

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   LIBERTE POLITIQUE, mars 2020, Claire Prazel : lire l'article en entier

   Le nouvel essai de Gabrielle Cluzel entend rendre hommage au "charme discret de la bourgeoisie", systématiquement vilipendée aujourd’hui, dans un relent agressif de marxisme et de révolution permanente qui n’en finissent pas de faire des petits.   ...

   PRESENT, février 2020, Anne Le Pape  : Retrouver sens et cohérence.

   [...] S’il est un ouvrage à recommander tout particulièrement dans nos pages Famille-Education, c’est bien le dernier livre de Gabrielle Cluzel : on y trouve exprimé de façon à la fois vivante, juste et drôle tout ce que nous analysons, tout ce que nous déplorons mais aussi tout ce que nous espérons.

   FRANCE CATHOLIQUE, février 2020 :  Dans un essai plein d’espérance, @gabriellecluzel fait l’éloge de la transmission dans une société sans repères.

   FAMILLE CHRETIENNE, février 2020 : 

   La France " blanquette de veau ", kesako ? Tout est parti d’une réflexion d’Emmanuel Macron. Jean-Luc Mélenchon s’opposant à son projet d’ouverture dominicale des bibliothèques, le président de la République s’est moqué des " petits bourgeois immobiles " qui préféraient rester chez eux le dimanche pour " manger leur blanquette de veau en famille ". Le sang de Gabrielle Cluzel n’a fait qu’un tour. "Ce mépris m’a énervée, dit-elle. C’est justement cette bourgeoisie déjà tant décriée qui, imprégnée de valeurs chrétiennes, assurait le liant social. " C’est à cette France qu’elle baptise donc " blanquette de veau ", dont " le secret est sa sauce, son liant ", qu’elle décide de s’adresser dans son livre. Pour lui rendre hommage et lui demander de ne pas renoncer à ce qu’elle est.

   ATLANTICO, février 2020, Aliénor Barrière :  Au-delà de la cellule familiale, c'est l'école qui forge aujourd'hui l'esprit des enfants. Après toutes les réformes successives de l'Education nationale, peut-on considérer qu'en définitive, le progrès c'était mieux avant ?

   - Gabrielle Cluzel : Le petit (ou moyen) bourgeois, qui n’est rien d’autre qu’un pauvre ayant pris l’ascenseur social grâce à ses efforts, ou à ceux de ses parents, attachait beaucoup d’importance aux valeurs mérite et travail. Qui ont donc disparu avec lui. L’école lui donnait, avant l’ère Bourdieu, en plus de potentialités matérielles un bagage culturel. Tout cela est fini : le notaire, le pharmacien, le médecin, le petit industriel de province, quand il en reste, sont désormais des techniciens supérieurs. Leur matière reste la pâte humaine et ses constances éternelles mais ils n’ont pas fait leurs humanités. Sans doute ne connaissent-ils plus la pauvreté matérielle, mais ils ont gardé la pauvreté culturelle. Il faut renouer le fil, recoller les morceaux, rabouter les maillons. Ce serait très mal de vouloir retrouver les ingrédients de cette blanquette de veau, parce qu’il est un dogme de foi que seul le progressisme est digne d’intérêt. Ce serait, dit-on, s’illusionner que de regretter le passé. Mais n’est-ce pas encore plus s’illusionner que d’idéaliser le progrès, de l’accueillir sans prudence simplement parce qu’il serait synonyme d’amélioration, alors qu’il n’est qu’une hypothèse théorique dont on ne connaît pas les réels effets ? Le passé, on sait ce qu’il est, avec ses échecs. Le détruire est comme lâcher la proie pour l’ombre. Ce n’est pas manquer d’espérance que de regarder en arrière pour retrouver le savoir-être comme un ouvrier retrouve un savoir-faire. Au contraire.

    FIGARO VOX, février 2020 :

   Gabrielle Cluzel : Vive la bourgeoisie "blanquette de veau !"  L’essayiste fait l’éloge de la petite bourgeoisie enracinée et bien élevée. Sans nostalgie et avec humour, elle s’inquiète de la disparition progressive de la civilité d’antan.


L'auteur : Gabrielle Cluzel
Gabrielle Cluzel est rédactrice en chef pour Boulevard Voltaire, elle scrute et analyse les mouvements politiques et culturels sans jamais donner sa langue au chat ! Sa chronique Sur le vif dans Famille Chrétienne enchante des milliers de lecteurs chaque semaine. Elle a déjà plusieurs ouvrage à son actif.

4ème de couverture

   " Ce serait, dit-on, s'illusionner de regretter le passé, de l'idéaliser. Mais n'est-ce pas encore plus s'illusionner que d'idéaliser le progrès, de l'accueillir sans prudence ? "

   Cet essai ne porte pas un regard nostalgique sur un passé révolu non exempt de défauts, mais rappelle ce qui peut encore unir la société française, sa langue, sa culture, ses romans familiaux, ses clochers et ses soldats que les Français plébiscitent, ses bonnes manières même !

   Le regard acéré et plein d'humour de Gabrielle Cluzel nous propose de briser quelques codes du prêt-à-penser pour redécouvrir les qualités d'âme que la civilité a su éduquer et repérer un savoir-faire qui a fait ses preuves.

   En décrivant une France vivante, quoique malmenée, elle ne se focalise pas sur la France d'hier, celle dont il est question ici st celle d'aujourd'hui et de demain.

Video

Gabrielle Cluzel, ZOOM - TV LIBERTES

Fiche technique

Catégories Livres Sciences Politiques Actualité/ Etudes / Essais Prix Littéraires et Sélections Jury
ÉditeurArtège
ReliureBroché
ParutionFévrier 2020
Nombre de pages200
Hauteur21.5
Largeur14
Épaisseur1.4
Poids0.238 Kg

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Commentaires clients

Note 
(26/01/2021)
Le mot de Thierry Bouclier publié chez Présent

« Pendant plusieurs années, la chronique tenue par Gabrielle Cluzel dans les colonnes de notre confrère Monde & Vie avait comme épigraphe : « Quand les évêques ont des courages de femmes, il faut que les femmes aient des courages d’évêques. » Un court exergue de la religieuse et poète Jacqueline Pascal, cité par Henry de Montherlant. De courage, Gabrielle Cluzel n’en a jamais manqué. Son essai, Enracinés ! Nous sommes tous des héritiers, couronné par le troisième prix des lecteurs de la presse française libre, le démontre une fois encore. Sans complexes et avec une grande liberté de ton, elle déboulonne en quelque deux cents pages les fausses idoles ayant germé sur les décombres de mai 1968. C’est probablement ce courage tranquille que les lecteurs ont voulu plébisciter. Elle se situe ainsi dans la lignée – et ce n’est sans doute pas un hasard – du lauréat 2020, François Bousquet, pour son roboratif essai précisément intitulé Courage ! François Bousquet succédant lui-même pour l’attribution du prix à un homme politique – Jean-Marie Le Pen – auquel le courage n’a également jamais fait défaut. Alors que l’année 2020 a été marquée par le sceau d’une peur paralysante, le succès remporté par le livre de Gabrielle Cluzel a comme un parfum de liberté retrouvée ».
Thierry Bouclier, président du Prix des lecteurs de la presse française libre

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