La révolution racialiste et autres virus idéologiques

Seul lui pouvait signer un essai aussi éloquent, percutant. Sidérant même.

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POLITIQUE MAGAZINE, Phillipe Mesnard, janvier 2024 : le poison du racialisme

   Paru en 2021, ce vigoureux et alerte essai est réédité en poche. Il traite du wokisme, de cette folie qui consiste à affirmer la race pour ne pas être raciste, l’identité pour mieux la nier, les différences pour mieux les abolir et la nécessité du débat pour mieux contraindre au silence.

   Ce qui pouvait paraître comme une écume inconsistante s’est désormais épaissi au point de recouvrir nos institutions, d’envahir nos universités, d’empâter les médias et d’emboliser les intelligences. On ne peut plus écarter la chose comme le délire de quelques excités, c’est toute la Cité qui est train d’être contaminée par le virus. Mathieu Bock-Côté, dont on connaît à la fois la rigueur sociologique et la verve polémiste réussit à allier la sureté de l’analyse à la vivacité de l’expression pour raconter, avec un appareil de citations et de notes qui encadre et valide toute sa démonstration, la genèse du wokisme, éclairer ses mécanismes de pensée, montrer la manière dont il infuse toute la société sur la base, disons-le, de postulats franchement aberrants, au premier rang desquels l’affirmation simultanée que tout n’est que construction symbolique et la nécessité de s’identifier qu’à ceux à qui on ressemble physiquement, ou encore la vertu essentielle de la haine minoritaire qui n’est qu’une juste réaction au système majoritaire dominant (le capitalisme mâle blanc hétérosexuel, comme chacun sait).

   Le diagnostic est sûr, le tableau de l’épidémie est inquiétant, ce livre est déjà un remède.


L'auteur : Mathieu Bock-Côté
Docteur en sociologie, chargé de cours à HEC Montréal, chroniqueur au Journal de Montréal et au Figaro, auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels La dénationalisation tranquille, Fin de cycle, Exercices politiques, Le multiculturalisme comme religion politique - Le nouveau régime.

4ème de couverture

   On ne saurait segmenter une société sur une base raciale sans condamner chaque groupe à s'enfermer dans sa couleur de peau, qui devient dès lors l'ultime frontière au coeur de la vie sociale. La vision racialiste, qui pervertit l'idée même d'intégration et terrorise par ses exigences les médias et les acteurs de la vie intellectuelle, sociale et politique, s'est échappée de l'université américaine il y a vingt ans. Et la voilà qui se répand au Canada, au Québec et maintenant en France. Elle déboulonne des statues, pulvérisant la conscience historique, elle interdit de parler d'un sujet si vous n'êtes pas héritier d'une culture, et vous somme de vous excuser "d'être blanc" , signe de culpabilité pour l'éternité.

   Le racialisme sépare et exclut, n'apporte pas de libertés quoi qu'en disent ses hérauts, et, plus dangereux, modélise une manière de penser le monde. Mathieu Bock-Côté est sociologue, et chroniqueur pour la presse québécoise et française. Ses travaux portent sur le régime diversitaire, le multiculturalisme et les mutations de la démocratie.

   Seul lui pouvait signer un essai aussi éloquent, percutant. Sidérant même.

Fiche technique

Catégories Livres Sciences Politiques Actualité/ Etudes / Essais
ÉditeurLitos
ReliureBroché
Parution2023
Hauteur18
Largeur11
Épaisseur1.8
Poids0.186 kg

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