La philosophe Bérénice Levet entend remettre à l’heure les pendules déréglées par le néoféminisme : non, l’homme blanc occidental hétérosexuel n’est pas l’ennemi à abattre !
FEMMES A PART, octobre 2020 : je mets simplement un petit bémol quant à la partie sur le néopuritanisme et la nation libertine.
Au sommaire :
Pour l’essayiste, si le féminisme, en son inspiration originelle, est un mouvement d’émancipation, il n’est plus guère aujourd’hui qu’une machine à surveiller et punir, à abêtir et infantiliser, à fabriquer des réalités et en occulter d’autres.
Criminalisation du désir masculin, guerre des sexes, néopuritanisme, épuration culturelle, politique du deux poids-deux mesures lorsque le mâle est musulman : nous libérer du féminisme constitue aujourd’hui un impératif catégorique si nous voulons être rapatriés sur terre, loin du monde fictif de l’idéologie féministe.
Bérénice Levet ne craint pas d’affirmer, et d’établir, que la cause des femmes n’est qu’un alibi : le néoféminisme travaille à la déconstruction de notre modèle de civilisation. Patrie de la galanterie, du libertinage, la France doit être le fer de lance d’une révolte contre ces Robespierre du jeu, de la séduction, de la ruse, de la légèreté !
Dans cet essai brillant et engagé, la philosophe donne des raisons de résister.
Catégories | Livres Sciences Politiques Actualité/ Etudes / Essais |
Éditeur | L'Observatoire |
Reliure | Broché |
Parution | Août 2018 |
Nombre de pages | 224 |
Hauteur | 21.5 |
Largeur | 14 |
Épaisseur | 1.9 |
ISBN | 9791032903698 |