

Prologue de Raül Sanchez Abelenda,
Traduction de l'espagnol de Mme Brosselard-Faidherbe.
Analysant la pensée de Maritain, l’auteur nous en dévoile l’erreur et la perversité : « La cité de Maritain coïncide avec la cité séculière de l’impiété. »
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Fiche technique