Il n'y a pas d'apocalypse climatique - Modèles, mesures et prévisions : se délivrer de l'éco-anxiété
"Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités". Espérons que nous nous réveillerons de ce cauchemar avant qu'il ne soit pas tard.
Revenir à l'intégrité scientifique dans ces domaines au lieu de céder aux sirènes d'un émotionnel exacerbé le lecteur curieux à poursuivre son investigation.
Au sommaire :
- Préambule : vous avez dit coût-bénéfice ?
- Climat - Au-delà des dogmes
- Décrypter le message du spectre infrarouge de l'atmosphère
- "Dérèglement climatique" - Vacuité d'une telle terminologie en l'absence de tout "règlement"
- Tentative de ruine programmée des éleveurs de bovins fondée sur une funeste incompréhension scientifique
- Se délivrer de l'éco-anxiété - ce venin qui ronge une inquiétante proportion de la jeune génération
- Revenir à l'intégrité scientifique pour éviter ruine et déprime
- Index des figures.
Physicien et observateur des questions climatiques, François Gervais met ici à la disposition des lecteurs quelques éléments qu’il n’est plus possible de cacher, à l’heure où de nombreuses personnes souffrent d’éco-anxiété et où la France s’enfonce dans une crise de la dette majeure.
Le document officiel du GIEC intitulé Résumé à l’intention des décideurs émis dans le cadre du dernier rapport AR6 de 2023 indique que « chaque tranche de 1000 milliards de tonnes d’émissions cumulées de CO2devrait probablement causer un accroissement de 0,27°C à 0,63°C de la température de surface globale, avec une meilleure estimation de 0,45°C ».
L’augmentation annuelle de CO2 atmosphérique depuis une trentaine d’années fluctue autour de 2 parties par million soit 15,6 milliards de tonnes. On en déduit donc que le CO2 cause actuellement un réchauffement de la planète de 0,007°C par an. La France étant responsable de 0,8% des émissions mondiales, elle est donc à l’origine d’un réchauffement annuel de 0,000056°C. Face à ce chiffre trop faible pour être même mesuré, il faut placer les 40 milliards d’euros réservés à la transition écologique dans le budget de la France, somme qui doit même passer à 66 milliards par an selon le rapport Pisany. Pour François Gervais, ces disproportions délirantes doivent maintenant être interrogées.
Ce faisant, il passe en revue plusieurs autres points importants, comme l’écart de 500% entre les projections des différents modèles utilisés par le GIEC ou la difficile question du chiffrage de la part humaine du CO2 émis. Autant de sujets qu’il aborde avec clarté en plaidant pour un retour à la science, seul moyen selon lui de retrouver la lucidité.
Fiche technique
- Reliure
- Broché
- Nombre de pages
- 192
- Hauteur
- 22
- Largeur
- 14
- Épaisseur
- 1.6
- Poids
- 0.260