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Sylvie  Perez - En finir avec le wokisme - Chronique de la contre-offensive anglo-saxonne
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  • Sylvie  Perez - En finir avec le wokisme - Chronique de la contre-offensive anglo-saxonne

Sylvie Perez

En finir avec le wokisme - Chronique de la contre-offensive anglo-saxonne

23,22 €

Fruit d'un long travail d'enquête, ce livre documente les réponses émergeant de toutes les strates de la société. Par le contournement ou par le choc, par le sérieux ou par l'humour, le combat pour la liberté d'expression est engagé.

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En réapprovisionnement, expédition sous 4 à 10 jours.

RADIO COURTOISIE, Sylvie Roubertie, émission Culture et Education , 2024 

   "Le livre est passionnant, l'entretien radiophonique devrait l'être tout autant !"

LE FIGARO, janvier 2024 :  Dans le monde anglo-saxon, ces voix qui s’élèvent pour contrer le wokisme

   En finir avec le wokisme. En Grande Bretagne et aux États-Unis, l’objectif est partagé par des universitaires, des politiques et des citoyens ordinaires. C’est aussi le titre du livre de Sylvie Perez : un récit éclairant sur ceux qui résistent face à un adversaire tentaculaire, salue la professeur de littérature à la Sorbonne.

   Le récent livre de Sylvie Perez, En finir avec le wokisme, analyse avec brio la contre-offensive conduite dans les pays anglo-saxons pour faire barrage à un phénomène qui a pris l’ampleur d’un tsunami. Comme la France subit la vague avec quelques années de décalage, la lecture en est vivement recommandée à nos concitoyens qui souhaiteraient s’en inspirer. En effet, la riposte est souvent le fait d’individus isolés, qui ont créé des associations, des sites internet, des podcasts qui permettent une salutaire prise de conscience et obtiennent parfois des résultats concrets, notamment sur le plan juridique et politique.

   Ces résistants héroïques sont des universitaires licenciés pour crime de pensée (Jordan Peterson, Kathleen Stock), des féministes (Julie Bindel) engagées contre la régression des droits féminins provoquée par la présence de « femmes à pénis » dans les prisons pour femmes et les compétitions sportives, des Noirs aussi, lassés de la condescendance du néo-antiracisme (Jason… ...

OBSERVATOIRE DU DECOLONIALISME, décembre 2023 : 

   En finir avec le wokisme : voilà une bonne résolution et un programme séduisant, qui fera certainement consensus parmi les membres et les sympathisants de l’Observatoire des idéologies identitaires, en attendant – et en espérant – que cet impératif s’impose comme un volet indispensable de toute candidature politique républicaine. Ce livre épais et très documenté raconte la manière dont les pays anglo-saxons (Canada, États-Unis et Angleterre), premiers touchés par le wokisme, organisent la contre-offensive à ce qui est devenu un tsunami. Comme la France subit la vague avec quelques années de décalage, Sylvie Pérez propose de s’inspirer de ces initiatives pour l’endiguer.

   Le livre est simultanément l’occasion de mesurer et de dénoncer le délire woke, dictature de l’absurde gouvernée par des incultes chatouilleux. C’est pourquoi, avant de décrire la résistance au mouvement, c’est l’occasion de revenir sur ses origines et ses effets.

LA NEF, E. Geoffroy, 2023 / L’offensive anti-woke : En finir avec le wokisme

L'INCORRECT, Rémi Carlu, octobre 2023 : Sylvie Perez, l’avant-garde anti-wokes 

   Dans la veine de ses articles de veille pour L’Incorrect ces dernières années, notre journaliste Sylvie Perez publie En finir avec le wokisme au Cerf, enquête ultra-documentée dans lequel elle examine la contre-offensive anglo-saxonne au wokisme.

   Une boîte à outils indispensable pour lancer la riposte chez nous.

CAUSEUR, Thomas Morales, octobre 2023 :  La contre-offensive en marche? Sylvie Perez publie "En finir avec le wokisme" 

     Dans son dernier essai, la journaliste Sylvie Perez décrypte parfaitement la déferlante woke et la résistance qui s’organise dans le monde anglo-saxon.

    J’y suis allé à tâtons, voire franchement à reculons. Encore un livre sur le wokisme, ses dérives, son emprise, son déni du réel, son obscurantisme ; bientôt nous trouverons plus d’ouvrages dans les rayons des librairies traitant de ce thème que de bouquins sur le développement personnel. C’est dire l’enfermement du monde éditorial dans les théories fumeuses. Le wokisme comme le racisme, le cancer, le litre de super à deux euros et la famine, toute personne censée est forcément contre. Idées vaseuses où le pathétique risible concurrence l’inquisition mentale, grand mouvement de déstabilisation et d’intimidation, le wokisme combine tous les travers d’une société végétative qui se déchaîne en se cherchant un nouveau maître à penser. Le sujet m’ennuie follement. Je suis hermétique à tout esprit de sérieux qu’il vienne d’outre-Atlantique ou de nos propres universités. Je n’ai aucune fascination pour le dérèglement et la déconstruction.

    Sylvie Perez n’ergote pas. Seule la permanence de la beauté m’obsède, qu’elle prenne la forme de Jacqueline Bisset, de l’île de Batz, d’une AMC Pacer ou d’un roman d’André Hardellet, ma nostalgie me protège et m’éloigne de mes contemporains. Par avance, je m’en excuse. Je tenais jusqu’à maintenant, à conserver mordicus mon confort intellectuel, désengagé et indifférent, loin du bruit des chaînes d’info et de leurs plateaux criards, adoptant un ersatz de dandysme pas tellement original mais très reposant pour mes nerfs. J’avais donc cette posture d’étranger aux débats qui agitent les sphères dites intellectuelles avant de lire En finir avec le wokisme. Elle m’a déniaisé sur un sujet où beaucoup d’approximations circulent dans les médias, par inculture et surtout, par manque de travail. D’abord, on juge un livre, peu importe le genre (essai, pamphlet, nouvelles ou polar) à la qualité de son écriture. Et cet essai se révèle limpide, fluide sans tomber dans le jargon des penseurs du dimanche, amusé, enjoué, parfois ricaneur, jamais ratiocineur, il est sacrément vigoureux. Sylvie Perez aime les mots, les formules, les phrases-choc, les envolées, ça mitraille sec ! Le wokisme, « c’est le mouvement sans le progrès » écrit-elle, dès son prologue. « Les adeptes du wokisme assimilent le désaccord à l’offense », poursuit-elle, plus loin. Elle canonne avec la force tranquille des auteurs qui ont enquêté longuement et qui, en profondeur, ont sondé ce magma informe où l’ignorance avance sous le visage de l’oukase. L’effet est jouissif quand elle compile toutes les errances, les outrances, les bassesses de ce mouvement, les dingueries proférées avec rage sur le sexe, la race, l’éducation ou l’identité, nous atteignons là, l’acmé du militantisme le plus déshonorant et de la pathologie victimaire.

    La résistance encore une fois à Londres précise, la journaliste l’est par la multiplication d’exemples concrets sur les dérives en cascade d’un système qui a perdu la tête, de l’interview virale de Jordan Peterson en 2018 à la télévision britannique aux ravages de la cancel culture mis à jour par le Manifeste des 153 paru dans le Harper’s Magazine en 2020 qui s’alarmait déjà du climat d’intolérance. Désormais, la liberté d’expression semble prendre sa revanche. Elle n’aurait pas abdiqué. Par petites touches, minuscules coups de piolet, elle commence à fissurer le grand mur du « n’importe quoi » où toutes les exagérations verbales et doctrinales étaient assénées avec la certitude des fraîchement convertis. La journaliste nous informe des bouleversements qui traversent actuellement la société anglo-saxonne. Elle possède un coup d’avance sur ses confrères. Elle nous annonce même une nouvelle vague. La contre-offensive a déjà commencé. La résistance s’organise. « Les Anglo-Saxons, forts de leur expérience du wokisme, ont élaboré un modus operandi pour juguler une influence néo-progressiste devenue folle. Chez eux, la contre-offensive aborde sa troisième phase. Après avoir identifié le phénomène en cours, il a fallu le comprendre, pour enfin le combattre. Ainsi apparaissent maintenant, outre-Atlantique, de véritables politiques anti-wokes qui détricotent le système diversitaire avec ses commissions et entités de surveillance anti-démocratiques. Là-bas, passé la séquence théorique, on aborde la pratique : résoudre le problème ».

   Le voyage en absurdie arriverait-il à son terminus ?

   Le wokisme est né sur les campus américains. Il a gagné l'Angleterre et le continent européen. Son berceau deviendra-t-il son tombeau ?

   L'heure est à la contreoffensive. Et dans le monde anglo-saxon, la résistance s'organise. Ce livre en dresse la chronique. Comment contrer la déferlante woke ? Comment répondre à ses dérives ? Théorie du genre, racialisme, décolonialisme, transactivisme : le système diversitaire s'impose partout. Le woke ne voit autour de lui que victimes et bourreaux et, pour réparer le monde, s'affaire à le pulvériser. Alors des esprits forts refusent de céder aux pressions et défendent l'égalité des droits. Philosophes, universitaires, médecins, juristes ou simples citoyens s'attellent à déjouer l'avènement d'un monde orwellien. Face à la violence de leurs adversaires, ils risquent leur carrière et leur réputation, mais défendent leurs convictions au milieu du vacarme. Sylvie Perez est allée à leur rencontre.

   Fruit d'un long travail d'enquête, ce livre documente les réponses émergeant de toutes les strates de la société. Par le contournement ou par le choc, par le sérieux ou par l'humour, le combat pour la liberté d'expression est engagé. Et la bataille culturelle fait rage. 

Sylvie Perez
Le Cerf

Fiche technique

Reliure
Broché
Parution
2023
Nombre de pages
368
Hauteur
24
Largeur
15.5
Épaisseur
3.1
Poids
0.560 kg
ISBN
9782204133838
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