Mes contes de chouannerie

     Avec son style si caractéristique, son écriture vivante, ample et jubilatoire, Jean de La Varende croit à la vraie joie, à la beauté d’une vie par l’accomplissement de soi, du devoir envers Dieu, envers son Pays et aussi le prochain, éléments inséparables de l’héroïsme et de la grandeur.

Au sommaire :

   Préface ; avant-propos ; La Vendée réelle ; Au bocage vendéen ; La Vendée héroïque ; À la Vendée ; Les amazones du Roi ; La cavalière ; Au cri de la chouette ; Les chouans de Normandie ; Le chevalier Des Touches ; Le double signe de la mort et de la fidélité ; Les chouans ; Le dîner de la Fosse ; Le bouffon blanc ; Verneuil-sur-Avre ; Les torches renversées ; Le curé de Derval ; Man d'Arc ; La chevauchée de Madame de Berry ; La troisième Vendée prend fin avant même d'avoir commencé ; Les derniers chouans ; Annexes ; Sources.

   S’appuyant sur des archives familiales, plusieurs grands thèmes apparaissent dans l’œuvre de Jean de La Varende : la foi, l’Idéal monarchique, la famille, le terroir et la vie paysanne, la mer et les marins, mais aussi les guerres de Vendée et la chouannerie. Pour lui, ces héros bretons, normands et vendéens se sont toujours battus avec vaillance, n’hésitant pas à donner leur vie pour leur idéal : Dieu et le Roi.

   Les textes de La Varende réunis ici démontrent que tant qu’il reste en ce monde un peu de cet esprit aristocratique, la situation n’est jamais désespérée. La Varende nous parle ici de grandeur et de sacrifice, de fidélité assumée et de dévouement jusqu’à la mort. N’écrivait-il pas dans une lettre en juillet 1957 : " Cette Chouannerie jamais ne cessera de me troubler, de m’exalter, de me posséder. Ah ! que sommes-nous dans notre vie indifférente, en face de ceux qui voulurent tout risquer pour maintenir leurs convictions ? "