Sur le blog d'Anne Brassié :
...Mais le plus tragique ou le plus rigolo , selon votre humeur, réside dans les échos renvoyés par ce livre à notre propre vie, aujourd’hui, dans notre bonne démocratie populaire, la haine des riches, la jalousie des bons à rien, les dénonciations en tous genres comme celle de la Duflot : l’église est trop riche, il faut lui prendre ses biens pour loger les pauvres, la réquisition des logements vides,...
Ce récit drôle et émouvant, tout en nous immergeant dans la réalité de la Pologne communiste de l’après-guerre, dresse un beau portrait d’adolescente qui restera longtemps dans notre mémoire.
Cracovie 1953. Alors que Staline vient de mourir, Bashia, adolescente rebelle, s’accroche à son rêve de quitter un pays affamé par les restrictions alimentaires et muselé par la police politique. Contrainte de composer avec les membres d’une famille tous plus originaux les uns que les autres ainsi qu’avec les locataires de leur appartement communautaire, Bashia essaie tant bien que mal de goûter aux joies de son âge.
Quitte à y laisser quelques plumes… La liberté à un prix, et Bashia en fait la douloureuse expérience.
Catégories | Livres Littérature Romans français et étrangers |
Éditeur | Albin Michel |
Parution | 2013 |
Nombre de pages ou Durée | 420 |
Hauteur | 20.5 |
Largeur | 14 |