Histoire du sabotage

De la CGT à la Résistance

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Un cahier de 8 pages de photos en couleur, hors-texte.


4ème de couverture

Resistants dynamitant des ponts, agents britanniques détruisant des usines... le sabotage s'est imposé comme l'une des armes du combat contemporain, à laquelle la Resistance a conféré ses lettres de noblesse pendant la Seconde Guerre mondiale.

Mais le phénomène n'est pas né avec l'armée des ombres. Les contours de cette arme nouvelle se dessinent a la fin du XIX° siècle, à la croisée de deux mondes que tout oppose : les syndicalistes de la Jeune CGT, qui imposent l'idée et le mot les militaires, qui développent le concept, mais rechignent à adopter le terme précisement parce qu'il vient des Rouges.

Les adeptes du sabotage en sont convaincus les sociétés industrielles sont fragiles ; machines et réseaux -de transmissions ou de communication-, à la base de leur puissance, peuvent être paralysés par des destructions ponctuelles aux effets considérables. Alors que s'estompe la différence entre le temps de paix et le temps de guerre, les espoirs et les craintes que suscite le sabotage se diffusent, qu'ils empruntent les traits de l'anarchiste, du communiste ou de l'Allemand.

Au-delà des espoirs et des peurs, la pratique du sabotage se developpe elle aussi. Encore modeste au cours de la Grande Guerre, elle s'affirme lors de la Seconde Guerre mondiale. Tous les acteurs l'incluent dans leur stratégie des Allemands aux Soviétiques. des Britanniques aux Américain, des résistants aux services secrets.

Pour la première fois, cet ouvrage lève le voile sur un enjeu majeur des temps contemporains.

Fiche technique

Catégories Livres Histoire Etudes
ÉditeurPerrin
ReliureBroché
Parution2016
Nombre de pages ou Durée500
Hauteur24
Largeur15

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Sébastien Albertelli
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