Comment la République réprimait-elle la délinquance au début du XXe siècle ? Quel est le premier homme, sous la IIIe République, a avoir célébré Jeanne d'Arc ? Quel regard a le PCF sur la famille en 1930 ? Comment le Front populaire accueille-t-il les étrangers en 1936 ? Qui était Mathurin Bocher ? Quelle est l'opinion du général De Gaulle sur les frontières de l'Europe ?...
Comment la République réprimait-elle la délinquance au début du XXe siècle ? Quel est le premier homme, sous la Ille République, a avoir célébré Jeanne d'Arc ? Quel regard a le PCF sur la famille en 1930 ? Comment le Front populaire accueille-t-il les étrangers en 1936 ? Qui était Mathurin Boscher ? Quelle est l'opinion du général de Gaulle sur les frontières de l'Europe ?...
Thierry Bouclier répond à ces questions, et à cent autres, en levant le voile d'un pan oublié de l'histoire politique : sur la patrie, l'Europe, la morale à l'école, le droit à la vie, les colonies, la République a pris des positions à contre courant de la vulgate d'aujourd'hui. Si les interdits actuels avaient sévi au cours des 150 dernières années, on trouverait au rang des accusés des personnalités surprenantes : Jules Ferry ou Jean Jaurès ; Roger Salengro ou Marx Dormoy ; Guy Mollet ou de Gaulle ; Mitterrand ou Chirac...
Tous ont exprimé des opinions qui leur vaudraient d'être aujourd'hui censurés. L'auteur nous place face à une véritable dérive des idées au cours du siècle, dérive qui s'est conclue par une amnésie générale sur le passé politique de la France.
Catégories | Livres Sciences Politiques Actualité/ Etudes / Essais |
Éditeur | Rémi Perrin |
Reliure | Broché |
Parution | 2008 |
Nombre de pages | 192 |
Hauteur | 21.5 |
Largeur | 14 |
Épaisseur | 1.5 |