La Maison de Matriona

suivi de : L'Inconnu de krétchétovka et Pour le bien de la cause.

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On a pu dire de ce livre qu'il avait été écrit pour l'éternité, et il est vrai que dans ces quelques pages la force évocatrice de l'auteur atteint une incomparable intensité.

Et ce don pour l'universel qui l'a conduit au prix Nobel de littérature et au statut de plus grand écrivain russe du XX° siècle


L'auteur : Alexandre Soljénitsyne
Alexandre Issaievitch Soljénitsyne est né le 11 décembre 1918 à Kislovodsk (Russie). Mobilisé en 1941 dans les rangs de l'Armée rouge, il est arrêté à la veille de la victoire pour avoir prétendument insulté Staline dans une lettre à un ami, et purgera huit ans de détention et trois de relégation. En 1962, la parution d'Une journée d'Ivan Denissovitch, peinture véridique de l'univers du Goulag jusque-là tabou, révèle un écrivain au monde entier.
Le Premier Cercle puis Le Pavillon des cancéreux assureront sa gloire.
Le prix Nobel de littérature lui est décerné en 1970.
En décembre 1973, paraît à Paris (en version russe) L'Archipel du Goulag, tableau de la terrible répression exercée en Union soviétique sur des millions de citoyens. Le scandale est énorme :en février 1974, Soljénitsyne est déchu de sa citoyenneté et expulsé de son pays : il se fixera d'abord en Suisse puis aux Etats-Unis.
A la chute de l'URSS, sa nationalité lui est restituée et il rentre en Russie, près de Moscou, où il vivra jusqu'à sa mort, survenue le 3 août 2008.

Co-auteur(s) : Traduction de Léon et Andrée Robel

4ème de couverture

Deuxième livre du grand écrivain russe à paraître en Occident après Une journée d'Ivan Denissovitch, La Maison de Matriona, cet autre bref chef-d'œuvre, est venu révéler en 1966 aux lecteurs français la face encore cachée du continent Soljenitsyne.

On connaissait le dissident, farouche opposant au totalitarisme stalinien, on découvrait maintenant sa cause : l'amour de la terre russe, l'attachement viscéral aux racines les plus profondes de l'âme du grand pays.

Et tout cela à travers la simple histoire de Matriona, cette femme " humble et juste" dans l'isba de laquelle le narrateur un instituteur à peine sorti d'un camp, avec qui l'auteur semble se confondre - trouve le refuge auquel il aspirait : cette campagne, certes collectivisée, prolétarisée, on pourrait dire martyrisée, mais où l'esprit de la paysannerie survit encore.

Fiche technique

Catégories Livres Littérature Romans français et étrangers
ÉditeurRobert Laffont
CollectionPavillons Poche
ParutionMai 2016
Nombre de pages ou Durée304
Hauteur18
Largeur12

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