La Salette, prières à Notre-Dame

Au sommaire :

• Avant-propos de l’éditeur
• Litanies en l’honneur de Notre-Dame de La Salette
• Neuvaine en l’honneur de Notre-Dame de La Salette
• Autre neuvaine en l’honneur de Notre-Dame de La Salette
• Prières en l’honneur de la Sainte Vierge
• Nouvelles litanies de Notre-Dame de La Salette
• Prière à réciter en temps de calamités

   « – Faites-vous bien votre prière, mes enfants ?

   Nous répondîmes tous les deux : – Oh ! non, Madame, pas beaucoup.

   – Ah ! mes enfants, il faut bien la faire, soir et matin. Quand vous ne pourrez pas mieux faire, dites un Pater et un Ave Maria ; et quand vous aurez le temps et que vous pourrez mieux faire, vous en direz davantage. » « Vous aurez beau prier, beau faire, jamais vous ne pourrez récompenser la peine que j’ai prise pour vous autres. » Telles sont les paroles de la Très Sainte Vierge à La Salette le 19 septembre 1846 qui descend du Ciel pour nous appeler à une véritable et complète conversion afin d’être prêts à supporter les terribles châtiments que les péchés des hommes nous méritent.

   Les Éditions de Chiré publient ce petit fascicule pour répondre au pressant appel de Notre-Dame, vous y trouverez deux neuvaines, des prières à la Sainte Vierge, des litanies et une prière en temps de calamités qui, n’en doutons pas, sauront sécher les larmes de la Belle Dame.

   « Ô vous qui flottez sur les eaux agitées de la vaste mer, et qui allez à la dérive plutôt que vous n’avancez au milieu des orages et des tempêtes, regardez cette étoile, fixez vos yeux sur elle, et vous ne serez point engloutis par les flots. […] En suivant Marie, on ne s’égare point, en priant Marie, on ne craint pas le désespoir, en pensant à Marie, on ne se trompe point; si elle vous tient par la main, vous ne tomberez point, si elle vous protège, vous n’aurez rien à craindre, si elle vous conduit, vous ne connaîtrez point la fatigue, et si elle vous est favorable, vous êtes sûr d’arriver ; vous comprendrez ainsi par votre propre expérience pourquoi il est écrit : “Le nom de la vierge était Marie”. » (Saint Bernard, Seconde homélie sur le « Missus est »)