L’ascension, l’apogée et la chute d’une famille mythique, racontée avec brio par l’historien des Borgia.
MEDIAS PRESSE INFOS, février 2019 : lire l'article en entier
[..] Au-delà de l’étude du système Médicis, ce sont toutes les tribulations de cette famille qui sont ici exposées.
LE FIGARO MAGAZINE, Philippe Maxence : "Jean-Yves Boriaud retrace avec talent la fortune de cette incroyable dynastie."
HISTORIA : "Connu pour ses excellents livres sur la Renaissance italienne Jean-Yves Boriaux s'intéresse ici au destin inattendu des Médicis."
Le siècle dit "des Médicis" passe pour un moment d’exception, un modèle d’équilibre politique comme de perfection esthétique. Au XV0 siècle affluent effectivement à Florence, en ce brillant Quattrocento, artistes, architectes, érudits et philosophes qui en font le phare de la Renaissance italienne. Mais rien n’aurait été possible sans la toile économique patiemment tissée depuis des dizaines d’années par les fondateurs méconnus de la dynastie des Médicis, des banquiers qui, en dépit des graves soubresauts qui agitèrent l’histoire de la ville, montèrent un réseau de succursales qui firent la fortune de la famille.
Fort de sa connaissance intime de la période, Jean-Yves Boriaud montre comment les Médicis, appuyés sur cette solide infrastructure, réussirent à s’emparer, sous Cosme (1434-1464) puis Laurent "le Magnifique" (1469-1492), de la réalité du pouvoir politique dans cette "république" aux rouages compliqués et à conforter cette puissance en se constituant une cour de haute culture, à même de célébrer les exceptionnels mérites du clan. Cela avant que le système montre ses limites et qu’en sollicitant à l’excès les ressources de la banque familiale, Laurent et ses successeurs ne le conduisent à l’échec final, la faillite de 1494. "
Catégories | Livres Histoire Histoire du monde Biographies / Témoignages |
Éditeur | Perrin |
Reliure | Broché |
Parution | Septembre 2019 |
Nombre de pages | 320 |
Hauteur | 21 |
Largeur | 14 |
Les livres de Jean-Yves Boriaud sont de grande qualité, son “Machiavel” a reçu le prix “Provins Moyen Age” en 2015.
Ses traductions de Pétrarque “Seniles” (lettres de la vieillesse) et de Boccace ” De mulieribus claris” (sur les femmes célèbres) sont moins connues que ses livres sur les Borgia ou son Histoire de Rome, voire Galilée.