Poèmes de Fresnes

Lus par Pierre Fresnay.

   C’est la rencontre d’une voix ardente et d’une plume mer­veil­leu­se­ment poé­tique qui a donné naissance à un chef-d’œuvre dont l’écoute est un enchantement.

Durendal
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Titres :

    Epitre dédicatoire - Chant pour André Chénier - Je ne sais rien - Vienne la nuit - Paysage de prison - Les noms sur les murs - Psaume I - Psaume II - Le camarade - Psaume III - Psaume IV - Mon pays me fait mal - Psaume V - Noël en taule - Le jugement des juges - Le testament d'un condamné - Chanson - Bijoux - L'enfant Honneur - Aux morts de février - Psaume VI - Psaume VII - Gethsémani - Lazare - La mort en face - 6 février 1945

   C’est la rencontre d’une voix ardente et d’une plume mer­veil­leu­se­ment poé­tique qui a donné naissance à un chef-d’œuvre dont l’écoute est un enchantement. Cette voix, c’est Pierre Fresnay (1897-1975) qui se met tout entier au service des vingt-six Poèmes de Fresnes, derniers écrits de prison psalmodiés par Robert Brasillach (1909-1945), qui les voulait lier sous le titre La mort en face.

   Si l’alliance de la plume et de la voix donne un effet saisissant, si l’on se sent emporté dans un univers de grandeur et de sacrifice, c’est qu’en l’occurrence Brasillach est plus qu’un poète : il est une âme qui, s’ouvrant à l’Espérance et mue par la grâce de Dieu, s’élève, se purifie, se simplifie jusqu’à mourir au bord de l’éternité en un renoncement qui fait de lui l’égal des grands héros de l’humanité et l’humble frère des saints : J’essayais le plus possible d’accepter.

   C’est dans cet acte tout simple (et com­­bien héroïque !) que s’achève cette montée spirituelle que l’auditeur vit avec Bra­sillach.

Essayiste et romancier, Robert Brasillach (1909-1945) fit ses études au lycée Louis-le-Grand à Paris puis à l’Ecole Normale Supérieure. Très jeune, il devint le responsable de la chronique littéraire de L’Action française et l’auteur de plusieurs chef-d’œuvres littéraires. En 1939, il succédera à Pierre Gaxotte à la tête de l’hebdomadaire Je suis partout. En 1945, victime des drames de l’épuration, il fut condamné à mort par une cour de justice et exécuté malgré une pétition signée et adressée au général De Gaulle par les plus grands écrivains français dont François Mauriac.
Editeur : Durendal
9782930788111

Fiche technique

Parution
2017
Nombre de pages ou Durée
50

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