Le Soliloque du prisonnier est un texte à part.
Ni écrit de combat, ni essai littéraire, il était destiné à être publié en espagnol dans un journal sud-américain. D’où la clause de style, Maurras y fait parler Maurras. Il défend la « latinité » ou plutôt une certaine idée de la « latinité », alors qu’à la même époque, l’Europe se construisait sur des bases marchandes.
Une « méridionalité » plus spirituelle que géographique, aux vastes contours mais sans ambition impériale, qu’illuminerait le soleil d’Apollon.
Rien à voir avec l’« abominable utopie » d’une « Europe confédérée sous la direction de l’Allemagne », chère à Déat et autres Luchaire.
Catégories | Livres Littérature Divers |
Éditeur | L'Herne |
Collection | Carnets |
Reliure | Broché |
Parution | 2010 |
Nombre de pages ou Durée | 100 |
Hauteur | 16.5 |
Largeur | 11 |