Le Diable Blanc, mon époux

 Le Diable blanc mon époux, n'est pas seulement la traduction française, due aux petits-enfants de l'auteur : ils l'ont complété par de nombreuses notes, par des photographies venant des archives familiales, et par une Postface, ce qui en fait un document historique de premier ordre.

•  Nombreux documents, photos, cartes en noir et blanc in-texte.

   Ce volume fait partie d'une trilogie de la saga familial. En effet Sergueï Alexandrovitch Timacheff, auteur du Diable Blanc de la Mer noire a complété ses Souvenirs dans un autre ouvrage, The Lost Sword of Schamil (1926). Traduit par les mêmes petits-enfants, ce petit volume relate l'étonnante histoire de l'épée de Schamyl : L'Epée perdue de Schamil (A paraître)

   "1917" : un frisson d'horreur nous envahit à la nouvelle des événements de février, à Petrograd : la Révolution, l'abdication du tsar... Puis la Révolution bolchevique, en octobre, où tous les officiers étaient fusillés : ne voulant pas courir le risque d'être pris par les bolcheviks, je décidais d('emmener ma femme loin de Moscou, persuadé qu'avec l'aide des Cosaques, à Orenbourg, on pourrait y organiser un centre de résistance."

   Ces lignes sont écrites en 1923 par le major Timacheff dans le Diable Blanc de la Mer noire. Son épouse, Alexandra, née princesse Troubetskoy, écrivit ses propres Souvenirs, The White Devil's Mate, en 1926 : enfin traduits en français, ils en sont le complément indispensable ; cette jeune princesse qui commence son récit par une chasse aux loups montre en toutes circonstances un sang-froid extraordinaire.