La vérité sur les vaccins

   Au sommaire :

• Avant-propos : pourquoi un nouveau livre sur les vaccins ?
• Les vaccins et la "post-vérité"
• la vaccination : une arme de prévention massive mais pas un couteau suisse !
• un acte médical devenu politique
• "Modernes" contre "ignorants" ? pas si simple.
• Rapport bénéfices/risques : le bon usage de la vaccination
• le vaccin n'est pas un bonbon
• une évaluation à faire au cas par cas
• L'affaire du DTP
• La vaccination ne tolère pas l'à-peu-près
• Noël, un moment à risques
• Ne pas imposer : évaluer, chiffrer et convaincre
• Ces fantasmes qui propagent la peur
• "C'est certainement mauvais" 
• Les fabricants de peur
• ....
• Quand le politique panique
• ...
• Le lobby du vaccin n'existe pas, mais...
• Le côté obscur de la force
• des millions de doses inutiles
• Et si on parlait de conflits d'intérêts
• Les maladies "non rentables"..;
• Politique vaccinale : hiérarchiser enfin les risques
• En finir avec les vaccins inutiles
• Distinguer le bénéfice collectif et le bénéfice individuel
• ....
• Tuberculose, paludisme et sida : les tueurs à abattre
• ....
• Des vaccins à recommander
• ...
• Demain, le vaccin personnalisé ?
• ...
• laissons chacun décider !

   Pour ou contre ? Dangereux ou non ? Beaucoup d'entre nous ne savent plus quoi penser et pour cause : on ne les a jamais renseignés, scientifiquement sur la vaccination.

   Le Pr Didier Raoult, microbiologiste mondialement reconnu qui dirige le plus grand centre français consacré aux maladies infectieuses (l'IHU de Marseille), comble cette lacune.

   La seule question à se poser est : quel vaccin est utile, pour qui , dans quelles circonstances ? Or savez-vous que 3 des 11 vaccins désormais obligatoires en France sont obsolètes qu'ils préviennent des maladies graves ? Que le vaccin contre la grippe, peu efficace chez les personnes âgées, devrait être distribué aux enfants ?

   Quant à redouter les effets nocifs d'un vaccin, il suffit d'évaluer le rapport risques/bénéfices pour choisir intelligemment, au lieu d'écouter les fabricants de peur comme ce fut le cas pour le vaccin contre l'hépatite B, aujourd'hui lavé de tout soupçon.

   "Notre politique