Marche avant

Cahier de 16 pages photos en couleurs hors texte.

La presse en parle :

... Entre conseils sur les chaussettes, exaltation du Small is beautifull, le récit de ses escapades d'enfant et ses marches d'homme, l'auteur révèle une belle part de lui-même avec simplicité et humour. Comme tous ceux qui se sont frottés au mmonde et à sa misère, A. Poussin fait partie de ces opposants à un système qui n'est qu'une machine à générer de la pauvreté, l'antithèse du don et de la gratuité, un système qui gâche et qui ne respecte pas une création dont il devrait être l'humble dépositaire. Sa marche devient pélerinage tant elle revêt une dimension spirituelle, elle est aussi volonté de prendre la réalité à bras le corps, de découvrir et de rencontrer, de voir et d'apprendre vraiment. Marche Avant fait partie de ces livres dont on aimerait qu'ils ne se referment jamais mais qui, justement, s'achèvent car il est temps que nous prenions à notre tour nos godillots et notre sac à dos...

L'Homme Nouveau, Juillet 2011 Adélaïde Pouchol.

Qu’est-ce qui fait courir Alexandre Poussin ?

Qu’est-ce qui le fait chaque fois partir et repousser les limites de son monde ?

Dans ce récit, à la fois pratique et philosophique, personnel et universel, Alexandre Poussin évoque sa vie d’aventurier, de père de famille et sa curiosité insatiable pour notre planète.

C’est au Canada, où il a passé son enfance, qu’Alexandre Poussin a attrapé le virus des grands espaces. Encore enfant, à la suite d'un grave accident, il a passé une année à Garches, immobile : le voyage intérieur a précédé l’aventure physique. La famille, le sport, le scoutisme, l’ont préparé à ses premières aventures.

Aujourd’hui, père de famille, il ne conçoit pas de partir sans ses enfants, et c’est aussi avec eux que se fera le prochain grand voyage.

En marchant.

Alexandre Poussin est un passionné de la marche, car elle possède à ses yeux des pouvoirs insoupçonnés. La marche permet de partir à la découverte du globe, bien sûr, mais aussi et surtout à la découverte de l’autre et de soi-même.

Elle change le rapport que l’on a à ce qui nous entoure, à une époque où la lenteur est devenue un luxe. Elle change le monde car elle permet de consommer moins, mieux, de voyager utile et de préserver la planète.